En ces temps de confinement, on a envie de repas réconfortant.
Certains jours ça passe par de la grande cuisine, d’autres par de la pâtisserie. Parfois par de la junk (extra) food. Revue de test des semaines passées.
La fajitas confinée (en pita)
La bouffe à faire à table, ça marche toujours bien en famille et mon mari est particulièrement fan.
Alors on a fait mexicain à la sauce confinée : un paquet de fajitas et des pitas pour complèter, du poulet mariné aux épices tex, une sauce tomate tex et… une salade de fenouil, de la crème fraîche, de la purée de patate douce.
Tout ça mélangé dans la pita (photo), mama mia (à non ça c’est italien).
Le burger qui déchire (dans des pains à hot dog)
On a fait deux soirées burgers confinées pour le moment. La première j’ai tenté de faire les pains mais on ne trouve plus de levure de boulanger, ni sèche, ni fraîche, dans mon quartier. J’avais du levain de sarasin et les pains n’ont pas levé (photo).
Puisqu’il n’y a plus non plus de pain à burger au supermarché, la seconde fois j’ai pris des pains à hot dog. Pour le reste, steak, cheddar du fromager, oignons caramélisés, cornichons aigre doux et une pointe de ketchup.
Mon must.
Le croque-monsieur de l’enfer (beurk)
Tentée par une recette vu sur Facebook, de ces recettes qui vous attirent à grand renfort de calorie et de grands noms (ici Eric Fréchon annoncé mais j’ai comme un doute), j’ai expérimenté la révolution du croque-monsieur où le pain est remplacé par de la polenta.
Les dosages étaient ubuesques.
Le résultats assez proche de l’immonde.
Le casse-dalle de la pause dej’
Celui là je l’ai mangé entre deux réunions Zoom, posée dans mon gros pouf sur la terrasse. Baguette tradition, beurre salé, jambon fumé, gouda au cumin, cornichons aigre-doux.
Je l’ai savouré.